Cri d’alarme dans le club nautique

Nous avons reçu un message, d’une jdidie mordue par l’amour de sa ville et des sports nautiques, dans lequel elle relate son mécontentement de la situation catastrophique à laquelle est arrivée la ville d’El Jadida, et explique l’injustice qu’elle a subite de la part du comité du club nautique DHJ, qui refuse son adhésion au club sans donner de justification à sa décision. Nous vous proposons de lire ce message, et laissons au comité du club nautique le droit de réponse.

Pour tout vous avouer, je vis au quotidien des situations rocambolesques qui relatent le désastre de cette ville dont je déplore l’insouciance de ses occupants. Faute de moyens, je me contentais d’en parler autour de moi dans l’espoir de faire évoluer les choses. Il se trouve que les gens désapprouvent ces agissements, malheureusement, ils se contentent, pour la plupart, de lever les bras au ciel priant le bon Dieu pour que cesse ce désastre ! En découvrant ce site, j’ai l’impression d’avoir trouvé un allié. En effet, les articles, pour la plupart, expriment mes pensées et réflexions. C’est cela même qui m’a poussé à vous écrire, espérant ainsi, attirer votre attention et celles des fidèles internautes sur certaines injustices, notamment celles pratiquées dans d’autres disciplines du DHJ, en l’occurrence la section « sports nautiques ».

Après un parcours de combattante, marqué par les injustices et le manque de moyens mais un bon palmarès tout de même, je me vois refuser l’adhésion au club nautique d’El Jadida. Imaginez une sportive qui a presque grandi au sein d’un club et qui de surcroît est mordue comme ce n’est pas permis des sports nautiques et qui a permis à ce club d’être mentionné plusieurs fois lors des régates et championnats grâce aux titres remportés, s’entend dire par les dirigeants d’un club que son adhésion a été refusée à l’unanimité par le comité de ce club !!! N’ayant reçu aucune réponse convaincante quant au motif de ce refus, j’ai adressé une lettre recommandée au président du club le sommant de m’éclairer sur ce refus. Par ailleurs, j’ai adressé une autre lettre à la Fédération Royale Marocaine de Yachting à Voile, cette fois-ci pour les informer de cette histoire.
A ce jour, aucune suite n’a été donnée à mes missives et je me pose sérieusement un certain nombre de questions.
Pour quelle faute grave peut-on refuser l’accès d’un club DHJ à des athlètes qui ont passé leur vie à son service ?
Un comité d’un club a t-il le droit de faire la pluie et le beau temps ?
La liste des interrogations est très longue, mais n’aboutit qu’à un seul constat : il ne faut plus s’étonner du désastre sportif que connaît actuellement notre ville !