El Jadida : Université populaire du patrimoine 2è Edition

Dans le cadre de la saison culturelle France-Maroc, l’Association Cité Portugaise et l’Institut Français d’El Jadida annoncent la reprise du cycle de conférences de l’Université Populaire du Patrimoine.

Lancée en 2011 à Casablanca par l’Association Casamémoire, et en 2012 à El Jadida par l’association Cité portugaise et l’Institut Français.

L’Université Populaire du Patrimoine revient pour la 2ème année consécutive pour proposer au public l’enseignement nécessaire à la compréhension du patrimoine et de ses enjeux dans notre société. Une sélection d’experts nationaux et internationaux présenteront des conférences thématiques autour du patrimoine regroupant quelque 7 conférences mensuelles, des ateliers de formation des guides-médiateurs et une visite sur le terrain afin de bien préparer les Journées du Patrimoine d’El Jadida – J.P.J. 2014 au mois d’avril.

Au programme de ce cycle figurent plusieurs présentations notamment sur « La gestion du patrimoine dans la région Doukkala-Abda », « Paysage urbain et historique : dernières recommandations», «Tourisme et patrimonialisation », « La médiation », « Le patrimoine lusitanien au Maroc», « Comment décrire un monument? » ou encore « L’architecture moderne au Maroc ».

Pour la saison 2013-2014, l’Université Populaire du Patrimoine s’invite dans d’autres villes du Royaume. Le cycle de conférences s’est déjà exporté à El Jadida, à Meknès et à Tétouan en 2012.

Pour la saison 2013-2014, les villes d’Agadir, de Safi et de Khouribga accueilleront à leur tour l’Université Populaire du Patrimoine à partir du mois de décembre prochain.

programme des Conférences :

Vendredi 25 octobre

“ La gestion du patrimoine dans la région Doukkala Abda”

Par Abdessalam AMRIR

Au Siège de l’association « Cité portugaise » (en face de la citerne)

Vendredi 15 novembre

“ La politique du patrimoine au Maroc ”

Par Abdelaziz Touri : ancien Directeur du Patrimoine, enseignant à l’INSAP

Vendredi 4 décembre

“ La politique du patrimoine au Maroc ”

Par Mohamed Berriane : Doyen de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Université Mohammed V-Agdal, Rabat